Le migrant

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Par Claude Lemay

La nature humaine a toujours fasciné Claude Lemay. On a pu le constater au fil de ses précédents romans. Avec « Le Migrant », l’auteur accouche d’une œuvre plus « littéraire », alors que les mots et leurs suites s’avèrent une trame de ressentis. Qui n’a jamais réfléchi sur l’évolution de notre monde et de la race humaine ? Ici, il ne s’agit pas tant de la réflexion elle-même que du sentiment qui nous habite à la suite de celle-ci.

Le migrant, le personnage principal de ce roman, a fait de sa vie une longue quête. C’est un nomade qui n’a de cesse de se poser tant de questions. La quiétude d’esprit n’a jamais trouvé asile chez lui. Ce n’est pas qu’il soit si anxieux, mais certes tourmenté. Il est à la base un être fort songé. Tel un artiste à la lucidité troublante, il dresse un portrait dérangeant de l’humain, de son rapport avec la terre et de sa relation avec les autres espèces vivantes. On comprend que le constat peut en être trouble. N’avez-vous jamais fait ce genre de prises de conscience ? De celles dont émane un malaise latent.

Le Migrant se veut néanmoins un roman porteur d’espoir. L’expectative qui émerge au fil des mots n’est peut-être pas celle à laquelle on s’attendrait. N’est-ce pas là tout l’intérêt de le lire ? Cet être errant qu’est le migrant renouera avec ces valeurs qui sont les fondements mêmes d’une humanité altruiste. Il y aura toujours de ces êtres, mis sur notre route, qui s’avéreront des anges ; ceux-là mêmes qu’on comprend le moins.

En fait, tout est question de conscience, peu importe la forme que celle-ci peut prendre…

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Par Claude Lemay

La nature humaine a toujours fasciné Claude Lemay. On a pu le constater au fil de ses précédents romans. Avec « Le Migrant », l’auteur accouche d’une œuvre plus « littéraire », alors que les mots et leurs suites s’avèrent une trame de ressentis. Qui n’a jamais réfléchi sur l’évolution de notre monde et de la race humaine ? Ici, il ne s’agit pas tant de la réflexion elle-même que du sentiment qui nous habite à la suite de celle-ci.

Le migrant, le personnage principal de ce roman, a fait de sa vie une longue quête. C’est un nomade qui n’a de cesse de se poser tant de questions. La quiétude d’esprit n’a jamais trouvé asile chez lui. Ce n’est pas qu’il soit si anxieux, mais certes tourmenté. Il est à la base un être fort songé. Tel un artiste à la lucidité troublante, il dresse un portrait dérangeant de l’humain, de son rapport avec la terre et de sa relation avec les autres espèces vivantes. On comprend que le constat peut en être trouble. N’avez-vous jamais fait ce genre de prises de conscience ? De celles dont émane un malaise latent.

Le Migrant se veut néanmoins un roman porteur d’espoir. L’expectative qui émerge au fil des mots n’est peut-être pas celle à laquelle on s’attendrait. N’est-ce pas là tout l’intérêt de le lire ? Cet être errant qu’est le migrant renouera avec ces valeurs qui sont les fondements mêmes d’une humanité altruiste. Il y aura toujours de ces êtres, mis sur notre route, qui s’avéreront des anges ; ceux-là mêmes qu’on comprend le moins.

En fait, tout est question de conscience, peu importe la forme que celle-ci peut prendre…

Par Claude Lemay

La nature humaine a toujours fasciné Claude Lemay. On a pu le constater au fil de ses précédents romans. Avec « Le Migrant », l’auteur accouche d’une œuvre plus « littéraire », alors que les mots et leurs suites s’avèrent une trame de ressentis. Qui n’a jamais réfléchi sur l’évolution de notre monde et de la race humaine ? Ici, il ne s’agit pas tant de la réflexion elle-même que du sentiment qui nous habite à la suite de celle-ci.

Le migrant, le personnage principal de ce roman, a fait de sa vie une longue quête. C’est un nomade qui n’a de cesse de se poser tant de questions. La quiétude d’esprit n’a jamais trouvé asile chez lui. Ce n’est pas qu’il soit si anxieux, mais certes tourmenté. Il est à la base un être fort songé. Tel un artiste à la lucidité troublante, il dresse un portrait dérangeant de l’humain, de son rapport avec la terre et de sa relation avec les autres espèces vivantes. On comprend que le constat peut en être trouble. N’avez-vous jamais fait ce genre de prises de conscience ? De celles dont émane un malaise latent.

Le Migrant se veut néanmoins un roman porteur d’espoir. L’expectative qui émerge au fil des mots n’est peut-être pas celle à laquelle on s’attendrait. N’est-ce pas là tout l’intérêt de le lire ? Cet être errant qu’est le migrant renouera avec ces valeurs qui sont les fondements mêmes d’une humanité altruiste. Il y aura toujours de ces êtres, mis sur notre route, qui s’avéreront des anges ; ceux-là mêmes qu’on comprend le moins.

En fait, tout est question de conscience, peu importe la forme que celle-ci peut prendre…